Comment utiliser la fonctionnalité
« Sexualité et médicament » ?
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Vous voulez en apprendre un peu plus sur l’équipe PILMIX ?
Aujourd’hui on vous parle de notre cinquième « team member », Cyril Labbe,
ingénieur informatique pour PILMIX.
Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Je m’appelle Cyril Labbe, je suis ingénieur, avec une spécialisation en informatique. J’ai 20 ans d’expérience dans le développement web, la sécurité en ligne et les bases de données relationnelles. Je suis architecte applicatif dans la première banque en ligne française.
Quel rôle as-tu dans PILMIX ?
J’assure toute la partie technique, à savoir la conception technique, le développement, le pipeline de déploiement, la gestion de l’hébergement, les maintenances correctives et évolutives. Je fais le lien entre les demandes “métier” et la faisabilité technique, je propose des solutions en termes d’interface utilisateur et d’expérience utilisateur. Je m’assure de l’application des bonnes pratiques en termes de performance et de sécurité sur le site.
Qu’est-ce qui t’a motivé à créer PILMIX ?
Ma motivation principale était la création d’un service à valeur ajouté dans le domaine de la santé, qui permet aux utilisateurs d’obtenir simplement de l’information sur les médicaments.
Quelle fonctionnalité de PILMIX trouves-tu la plus intéressante ?
En tant que patient potentiel, je dirais que pouvoir chercher un effet indésirable sur l’ensemble de mon traitement semble être ce qui apporte le plus d’intérêt, car on gagne du temps en évitant une recherche successive dans les notices de plusieurs médicaments.
Rendez-vous sur le blog de luxapothicare pour consulter nos autres articles concernant la santé, PILMIX ou ses collaborateurs. Ainsi que sur nos applications PILMIX pour vous renseigner sur vos médicaments.
Découvrez le passage de Edith Dufay pour présenter PILMIX sur France 3
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Vous voulez en apprendre un peu plus sur l’équipe PILMIX ?
Voici l’article sur notre quatrième « team member », Thomas Baum, co-fondateur de PILMIX.
Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Je suis pharmacien hospitalier spécialisé en hygiène et en gestion des risques liés aux soins. Mon travail au quotidien est la prévention des infections nosocomiales. Mais aussi l’analyse et le suivi des événements indésirables associés à des soins dont les erreurs médicamenteuses.
Quel rôle as-tu dans PILMIX ?
Pour le projet PILMIX, j’assure le rôle de Quality Manager. En ce sens, je suis responsable du système qualité de l’application. Je veille à ce que les solutions que nous proposons soient conformes à la réglementation et aux bonnes pratiques professionnelles.
Qu’est-ce qui t’a motivé à créer PILMIX ?
L’information sur le médicament est très disparate et difficile à retrouver facilement, même pour des professionnels de santé. Je voulais un outil rapide qui soit capable de concentrer toutes les informations utiles en un seul endroit et qui répond simplement à mes questions en quelques clics.
Quelle fonctionnalité de PILMIX trouves-tu la plus intéressante ?
En tant que gestionnaire des risques dans un hôpital public, la fonctionnalité qui me sert le plus est le signalement des effets secondaires des médicaments. En plus d’être intuitif, le formulaire de déclaration est très rapide à compléter et il est envoyé automatiquement au bon centre de pharmacovigilance. Il est beaucoup moins fastidieux à utiliser que celui qu’on retrouve sur la plateforme nationale de signalement.
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Faciliter la prise d’informations sur les médicaments est la vocation de PILMIX. L’information est cruciale pour mieux encadrer la prise de médicaments. Aujourd’hui, on vous explique en quoi la surconsommation et la malconsommation médicamenteuse est un problème fondamental.
La France fait partie, comme la plupart des pays développés, des plus gros consommateurs de médicaments. A l’aube des années 2000, la France était même le plus gros consommateur de médicaments en Europe. Cette surconsommation de médicaments a dès lors été pointée du doigt, et des actions ont été mises en place pour la réduire.
Ainsi, Bernard Kouchner, alors ministre de la santé en 1998, disait de la France qu’il s’agissait d’un pays « où la surconsommation médicamenteuse est flagrante et injustifiée… Trop de prescriptions sont reconduites en l’absence de symptômes. »
Entre 2000 et aujourd’hui, la France a été l’un des pays d’Europe ayant la plus faible croissance dans la consommation de médicaments. Ainsi, elle se retrouve aujourd’hui dans la moyenne Européenne. Malgré cet effort, la surconsommation demeure.
Les Français dépensent en moyenne presque 500 euros par an en médicaments, hors médicaments hospitaliers. La sécurité sociale prend en charge la majeure partie de cette dépense. Depuis 2014, le taux de remboursement ne figure plus sur les boîtes de médicaments; les vignettes ont disparu. PILMIX vous informe sur le taux de remboursement de vos médicaments avec sa fonctionnalité Remboursements.
Bien que la France ne fasse plus partie des mauvais élèves européens en termes de consommation de médicaments, il reste un domaine dans lequel elle a du retard : la consommation d’antibiotiques. La France se situait, en 2015, à la huitième place des consommateurs d’antibiotiques dans le monde. Or, la consommation abusive des antibiotiques utilisés pour soigner les infections (la pneumonie, les infections urinaires et même la tuberculose) augmente la résistance bactérienne.
Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), « La résistance aux antibiotiques entraîne une prolongation des hospitalisations, une augmentation des dépenses médicales et une hausse de la mortalité… [et] constitue aujourd’hui l’une des plus graves menaces pesant sur la santé mondiale, la sécurité alimentaire et le développement.»¹
Le problème principal est leur utilisation alors qu’elle n’est pas nécessaire. Dans de nombreux cas, on peut se passer d’antibiotiques grâce à la vaccination ou à des mesures d’hygiène plus strictes. Pour l’OMS « Si nous ne prenons pas des mesures d’urgence, nous entrerons bientôt dans une ère postantibiotique dans laquelle des infections courantes et de petites blessures seront à nouveau mortelles. »
Ceci nous amène à nous poser la question suivante : « Le problème est-il la surconsommation ou la malconsommation de médicaments ? »
Les antibiotiques sont un bon exemple de malconsommation médicamenteuse. Malheureusement, cette malconsommation ne se limite pas aux seuls antibiotiques.
« Dans le monde, près de la moitié des médicaments ne sont pas utilisés à bon escient. Les experts de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) rappellent que cela peut avoir de graves conséquences : effets indésirables, prolongation des maladies et même, dans certains cas, la mort.»²
Trois règles d’utilisations optimales d’un médicament sont préconisées par l’OMS : « Médicament de qualité, Bonne dose, Respect des précautions d’usage ». Sur ce point, PILMIX vous renseigne sur les précautions d’usage avec sa fonctionnalité Comment prendre mon médicament ?
Ne pas prendre en compte la situation du patient, et notamment ses allergies, est une autre raison de malconsommation médicamenteuse. Ici aussi PILMIX vous renseigne sur les substances allergisantes contenues dans vos médicaments avec sa fonctionnalité Recherche de substance.
L’étude EMIR (Effets indésirables des Médicaments : Incidence et Risque) a conclu sur la consommation de médicament en France : 3,60% des hospitalisations sont liées à des effets indésirables. « Les malades hospitalisés pour effet indésirable étaient plus âgés en moyenne que ceux hospitalisés pour un autre motif ». Ceci n’a rien d’étonnant puisque la consommation de médicaments augmente avec l’avancée en âge.
70% des cas sont dus à des effets indésirables liés au médicament seul. Encore une fois, PILMIX vous permet de savoir si un de vos médicaments peut être à l’origine d’un symptôme avec sa fonctionnalité Effets secondaires et médicaments.
Les 30% restants sont issus d’interactions entre médicaments. Une fonctionnalité pour connaître les interactions médicamenteuses à éviter est en cours de développement; elle intégrera PILMIX prochainement.
Ce sont pour toutes ces raisons que PILMIX a fait de sa vocation la prise d’information médicamenteuse. Ceci afin de réduire les risques liés à la consommation de médicament. Dans cette lignée, certains effets secondaires sont liés à la sexualité. C’est particulièrement le cas des pilules contraceptives, des antidépresseurs et des médicaments pour la tension. PILMIX propose aussi de vous renseigner en quelques clics sur ces symptômes avec sa fonctionnalité Sexualité et médicament.
Si vous subissez un effet secondaire, déclarez-le facilement à la pharmacovigilance grâce à PILMIX. Vous contribuerez à une meilleure connaissance du médicament.
Rendez-vous sur notre blog pour lire nos autres articles, découvrir PILMIX & notre équipe.
Sources :
¹ Résistance aux antibiotiques (who.int)
² OMS | Promouvoir l’usage rationnel des médicaments, c’est sauver des vies et faire des économies (who.int)
Vous voulez en apprendre un peu plus sur les membres de l’équipe PILMIX et leurs motivations?
Voici l’article sur notre deuxième « team member », Tristan Vambre,
chargé de marketing & communication pour PILMIX.
Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Je m’appelle Tristan, j’ai 25 ans et suis actuellement en master de marketing et data science à l’IAE de Lille. J’ai rejoint PILMIX début avril 2021.
Quel rôle as-tu dans PILMIX ?
Au sein de PILMIX, je suis chargé de communication et marketing. Je m’occupe de la stratégie marketing concernant nos applications et de la communication sur les comptes de PILMIX que nous venons de lancer sur les différents réseaux sociaux. Mon rôle en tant que marketeur est, entre autres choses, de comprendre quel est notre public et ,en tant que communicant, de faire en sorte que la communication autour des applications soit cohérente et qu’elle s’adresse au bon public. Enfin, le fait que je n’appartienne pas au monde de la médecine me permet d’apporter un regard extérieur sur les applications.
Qu’est-ce qui t’a motivé à rejoindre PILMIX ?
Ce qui m’a motivé en premier lieu à rejoindre PILMIX, c’est la mission d’utilité publique que remplissent les applications. Rendre l’accès à l’information sur les médicaments beaucoup plus simple pour les patients et l’accès à des alternatives très facilement pour les professionnels de santé me semble nécessaire pour améliorer la médication. Ensuite, c’est la diversité des tâches liées à ma fonction. Participer à l’élaboration des stratégies avant de les mettre en place est une opportunité très intéressante.
Quelle fonctionnalité de PILMIX trouves-tu la plus intéressante ?
J’ai la chance d’avoir relativement rarement des problèmes de santé et de ne jamais prendre de médicaments donc je ne suis pas la cible principale de PILMIX. Mais je pense que ce serait la fonctionnalité substances. Savoir si une substance est contenue dans un médicament est particulièrement utile pour toutes les personnes ayant des allergies ou des intolérances.
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Aujourd’hui, on vous parle de « health literacy », mais qu’est-ce que c’est ?
Le mot littératie provient du latin litteratus qui signifie alphabétisé, éduqué, lettré. On pourrait penser qu’il s’agit de la capacité à lire ou écrire mais « la littératie ne se limite pas à la lecture [et] à l’écriture, elle est aussi la capacité à pouvoir communiquer au quotidien, aussi bien à l’écrit qu’à l’oral, pour interagir dans les différents contextes de la vie en société »¹.
La health literacy ou littératie en santé, est donc « la capacité d’un individu à trouver de l’information sur la santé, [à la communiquer], à la comprendre et à l’utiliser dans le but d’améliorer sa propre santé ou de développer son autonomie dans le système de santé »².
Voici un exemple simple pour vous expliquer en quoi la littératie est quelque chose d’important pour avoir accès à l’information et la comprendre. Projetez-vous quelques années en arrière et imaginez qu’au détour d’une conversation vous entendiez parler de cas-contacts, de clusters, de gestes barrières ou encore de masques FFP2. Aujourd’hui une grande partie de la population a une littératie suffisante dans ce domaine pour comprendre de quoi on parle. En revanche, en 2018 la majorité de la population n’aurait pas su comprendre, ou du moins comprendre aussi précisément, ce dont il s’agissait.
Différentes études ont démontré qu’une partie importante de la population (variable selon les pays et la façon de mesurer) n’a pas un niveau de littératie en santé suffisant pour pouvoir prendre soin de sa santé.
Les lacunes liées à la littératie en santé touchent toutes les catégories de population. Des plus jeunes aux plus âgés, des plus riches aux moins aisés, des ruraux aux citadins… Le problème principal est que les individus ayant le plus de mal à appréhender les informations liées à la santé vont le plus souvent être pris en charge tardivement dans leur pathologie.
L’une des difficultés principales en santé est de réussir à mettre sur un pied d’égalité différents niveaux de littératie. Qui n’est jamais sorti d’un rendez-vous chez un médecin ou un spécialiste en ayant l’impression d’avoir à peine compris la moitié des informations ?
La santé est un domaine dans lequel une même information peut être exprimée de nombreuses façons. C’est pour cette raison qu’il est parfois compliqué de s’investir dans sa santé. Prenons un exemple. Si vous commencez à ressentir des douleurs au niveau du ventre, votre première façon d’exprimer votre problème pourrait être de dire que vous avez des « douleurs abdominales ». À moins que vous ne l’exprimiez en disant que vous avez « mal au ventre ». Mais vous pourriez aussi dire que vous avez « mal au bide ». Finalement, toutes ces façons d’exprimer le problème peuvent correspondre au même symptôme : une douleur colique.
Ici, on parle d’un symptôme assez courant. Mais lorsqu’il s’agit d’un problème moins ordinaire, comprendre une information peut devenir complexe. Par exemple lorsqu’on lit la notice d’un médicament. Il est possible de tomber sur une liste d’effets secondaires sans comprendre ce dont il s’agit. Sans comprendre comment ceux-ci se manifestent. Finalement, sans pouvoir réellement savoir s’il s’agit du symptôme qui nous touche.
L’intérêt de PILMIX est d’apporter une information sûre au plus grand nombre. En s’adaptant à la littératie de tous, plutôt que de demander aux patients d’utiliser un vocabulaire qui n’est pas celui qu’ils ont l’habitude d’utiliser.
Le moteur de recherche de PILMIX permet aux patients d’exprimer leurs problèmes en utilisant leurs propres mots. Notre application donne la capacité à tous les patients de trouver la bonne information sur leur santé.
Puisqu’un exemple est toujours plus parlant, imaginons un individu qui vient de commencer à prendre son nouveau traitement et se met à sentir une boule sous la peau de son avant-bras. Il n’a aucune idée de ce dont il s’agit. Mais il aimerait savoir s’il peut s’agir d’un effet secondaire de son nouveau traitement. PILMIX lui permet, avec son vocabulaire, de trouver la réponse à sa question. Cette personne se rend sur l’application, rentre son traitement et cherche l’effet secondaire « boule peau ». PILMIX lui indique qu’il s’agit d’un nodule rhumatoïde et lui permet de savoir s’il s’agit ou non d’un des effets secondaires connus de son traitement.
PILMIX a pour vocation de permettre aux individus de prendre en main leur santé beaucoup plus facilement qu’auparavant. Découvrez notre application ici.
Rendez-vous sur notre blog pour lire nos autres articles, découvrir PILMIX & notre équipe.
Sources :
¹ toupie.org (définition de littératie)
² wikipedia.com (littératie en santé)
TedxTalks – Are you confused about health information ? You’re not alone
Vous voulez mieux connaître les membres de l’équipe PILMIX et leurs motivations?
Aujourd’hui on donne la parole à notre troisième « team member », Simon Géhin, collaborateur de PILMIX.
Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Je m’appelle Simon, je suis étudiant en pharmacie d’officine.
Quel rôle as-tu dans PILMIX ?
Mon rôle dans PILMIX® est d’adapter au mieux les fonctionnalités de l’application aux besoins cliniques rencontrés au cours de la pratique de la pharmacie clinique en ville. L’application devient un outil didactique, rapide et pertinent dans le conseil fourni au patient.
Qu’est-ce qui t’a motivé à te lancer dans la création de PILMIX ?
La motivation qui m’a poussé à me lancer dans la création de PILMIX® a émergé pendant mon stage hospitalo-universitaire. En effet, la méconnaissance des patients vis-à-vis de leurs traitements, la difficulté à accéder à cette information m’ont donné l’envie de développer ce projet.
Laquelle des fonctionnalités de PILMIX te sert le plus dans ton métier ? (et pourquoi)
La fonctionnalité que j’utilise le plus dans ma pratique est la rubrique substance. Il arrive régulièrement qu’un patient ne tolère ou ne veuille pas d’une substance en particulier, l’application me permet de pouvoir proposer une alternative pertinente au médecin traitant de ce patient ou de le conseiller avec justesse.
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